Une fois de plus je décide d’apporter un certain nombre de changements à ce blog.

Dans un premier temps c’est un changement de nom de domaine. Exit vostock.org, voici blog.vostock.fr. Ce nouveau nom de domaine n’est même pas forcément définitif (pourquoi pas david.bozec.net ?) mais va rester le temps que je me décide sur ce que je veux faire exactement. En attendant, une redirection est mise en place depuis l’ancien domaine pendant un an, j’aviserai ensuite.

Ce premier changement s’accompagne de l’abandon de mon hébergeur historique pour migrer vers l’un de mes propres serveurs. Histoire d’avoir la main sur ce que je fait, et puis ça fait une facture et un fournisseur en moins. Le nom de domaine vostock.org est désormais géré par OVH comme tous les autres que je possède (dont celui-ci) ainsi que mes serveurs qui ne sont pas auto-hébergés.

Pour la suite, je vais très certainement abandonner WordPress pour un moteur de blog statique. Adieu donc les commentaires sur les articles, mais leur faible nombre me laisse tout de même penser que ça ne manquera pas à grand monde et ça sera plus simple à administrer pour moi. Idéalement j’aimerai quelque chose de couplé à un dépôt git histoire de gérer ça comme un simple ensemble de fichiers texte.

Ne vous étonnez donc pas de voir les choses évoluer encore un peu par ici dans les temps à venir (je prends quand même mon temps, ça ne se fera pas tout de suite :P) et n’oubliez pas de mettre à jour vos agrégateurs RSS avec la nouvelle adresse si c’est ce qui vous tient notifié de mes rares publications 😉

Voilà un moment que j’ai rédigé ce premier article sur mes réflexions sur l’auto-hébergement de mes services web. Près de quatre ans ont passé et un certain nombre de choses ont évolué.

Petit tour du propriétaire…

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Le passé

Voilà quelques temps maintenant que je possède chez moi un petit serveur monté à partir d’un client léger et équipé d’un carte Compact Flash en guise de disque dur.

Je dois bien avouer qu’il ne m’a jamais servi à grand chose qu’à me donner un accès distant à mes données lorsque je ne suis pas chez moi ou à subir mes expérimentations divers sur Linux.

Depuis quelques mois je lui ai ajouté un disque dur de 40 Go qui trainait dans un placard et j’ai installé un serveur Subversion afin de pouvoir mettre en place une gestion de configuration pour un certain nombre de mes projets.

Me voici donc avec mon petit serveur pas puissant pour deux sous mais qui rempli parfaitement son rôle (si on est pas trop pressé). Il a su se faire discret tant par sa taille que par sa consommation et cela me convenait parfaitement jusqu’ici. J’ai bien-sûr pensé à lui ajouter d’autres services, mais sa puissance étant vraiment limitée il valait mieux ne pas trop lui en demander sous peine de le mettre rapidement KO. lire la suite…